Repasser par la case hôpital. Éclairage, par Pierre et Charlyne Dornier, fondateurs de l’association Semons l’Espoir à Besançon.

Pierre et Charlyne Dornier ont été frappés de plein fouet par la maladie, il y a trente ans de cela. De la pire des manières pour des parents : celle qui touche leurs enfants. De cette épreuve extrême est née Semons l’Espoir. D’abord une maison des familles à côté du CHU de Besançon pour permettre aux familles éloignées géographiquement de rester auprès de leur proche hospitalisé, très vite devenue véritable lieu de vie, point de rassemblement. Puis toute une dynamique de projets autour de la maladie : les Sommets de l’Espoir, la Vigne de l’Espoir

Nous avons été chaleureusement accueillis à la maison des familles lors de notre passage par Besançon au mois de juin. Un moment d’intense émotion, qui faisait échos pour nous aux nombreux parents que nous avons rencontrés pendant les hospitalisations de Piwi Cœur qui étaient pour la plupart logés à la maison des familles des hôpitaux Est à Lyon : Piwi Cœur a la chance incroyable d’habiter à 5 kilomètres du CHU. Ses amis de réa venaient des quatre coins de la région Rhône-Alpes, et même au-delà pour le service de cardiologie : de Besançon, par exemple !

L’épopée de Semons l’Espoir est une inspiration, une leçon de vie, pour chacun d’entre nous. Concerné ou pas par la maladie. Asseyez-vous. Écoutez…

« C’est important pour les parents de savoir qu’il y a une vie après la maladie. […] Et que les enfants qu’on n’a pas pu guérir ne voudraient certainement pas les voir complètement effondrés et dans le chagrin ».

Mme Dornier

Pour suivre Semons l’Espoir : la page Facebook de l’association.
Pour visionner les vidéos des Sommets de l’Espoir : la chaîne Youtube.
Pour prendre contact avec la maison des familles : le site web du CHU.

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